Ne t’inquiète pas, c’est normal ! Mais là, on prend le temps de t’expliquer...

D’abord, on t’explique l’idée initiale de la conceptrice du Diagnostic Performance Eau : réduire la consommation en eau potable des foyers en France et partout dans le monde... Vu comme ça, cela paraît prétentieux… Et pourtant… si tu essayes SON logiciel, qui est bien gratuit, tu reçois un rapport qui t’explique ta note et comment faire… Donc tu as bien reçu le résultat d’une analyse, en fonction de TA situation… Dans cette simple phrase se cachent des problématiques diverses liées à la propriété intellectuelle, et c’est là que cela devient intéressant. En plus, ici nous te fournissons les preuves (un refus de l’INPI tout à fait légitime que nous avons volontairement provoqué pour… obtenir ce refus ! Paradoxal ? Pas vraiment, attends la suite, tu comprendras) de pourquoi c’est important, car c’est là que réside toute l’ingéniosité non pas de Madame LEFEBURE mais de toute une équipe qui a transformé une « idée » en réalité… Celle que : si l’économie d’eau potable peut se faire sans écogeste, c’est-à-dire sans sur-effort, alors cela doit être disponible pour tous : donc la gratuité ! Mais pour bien te conseiller, il faut proposer des solutions hydrosobres testées, donc la neutralité, et donc un socle non soumis au piratage immédiat : donc une partie du code source propriétaire, mais une normalisation que l’on peut améliorer avec les nouvelles technologies, donc pas un label ou une certification privée. C’est là qu’entrent en jeu les Creative Commons Licences, et voilà !

Le Diagnostic Performance Eau n’est ni brevetable ni plaçable sous copyright ; son moteur de calcul, CHLORODIA^®, lui, par contre, est protégé. Et enfin, le tout, sur l’URL : https://water-performance-diagnostic.com, est ouvert à d’autres données tierces : c’est le côté Open Interface.